Samedi 30 novembre 2019 – Journée d’ouverture

Samedi 30 novembre 2019 – Journée d’ouverture

Samedi 30 novembre 2019

Journée d’ouverture

EXPOSITIONS

Places, Stanley Liquide de la tête – photographies de voyages
Toute la journée dans le hall du théâtre

Zones Humides Imaginaire, Kettly Noel – Installations vidéos (danse) – Sous réserve

 

PERFORMANCES, LECTURE , DEFILE, GOUTER

« Ici c’est ouvert » – Performances de Street Art dans la cours du Théâtre – Tout l’après-midi
(sous réserve des bonnes conditions météorologiques).

Défilé de mode – créatrices normandes – 15h
« Peep Show », d’après Markus Köbeli, par l’atelier du TBD, mise en espace Angelica Tisseyre et Nino Djerbir – 16h

Concert, Kaddy & JFK – Musique (reprises soul) – 17h

Présentation de la compagnie par Eva Doumbia – 18h30

Poésie en musique, Eva Doumbia et Lionel Elian – Hommage/lecture, à l’auteur Sériba Doumbia (1974/2019) – 18h45

Zawia Fama (rock gnawa de Marseille), Imhotep (Marseille), surprises – Concerts – à partir de 19h

Aucun résultat

La page demandée est introuvable. Essayez d'affiner votre recherche ou utilisez le panneau de navigation ci-dessus pour localiser l'article.

Adresse

Théatre des Bains Douches
17 Rue Théodore Chennevière
76500 Elbeuf

Tél : 09 81 24 99 15

Nous situer

Infos pratiques

Gratuit sur réservation
par mail ou par téléphone
Accessible aux personnes à mobilité réduite

Newsletter

Jeudi 19 septembre 2019 – Ourika de Claire de Duras/Le Matrimoine

Jeudi 19 septembre 2019 – Ourika de Claire de Duras/Le Matrimoine

Jeudi 19 septembre 2019 à 20h

Ourika de Claire de Duras/Le Matrimoine

Pour son arrivée au Théâtre des Bains Douches, et dans le cadre des Journées du Matrimoine initiées par H/F Normandie, La Compagnie La Part du Pauvre/Nana Triban propose une mise en espace d’un texte d’une romancière oubliée : Claire de Duras.

« Ourika », écrit en 1822, porte le nom d’une jeune fille noire qui a existé et fut éduquée dans le noblesse. C’est l’époque où la mode est d’adopter des « négrillons » et « négrillonnes », qu’on déguise à la façon «orientale », et qu’on exhibe, cajole, au côté des lévriers et autres animaux domestiques. De cette histoire réelle, Madame de Duras, tire un des premiers romans français qui traite du préjugé de couleur. Confession à la première personne, le roman ici adapté est une introspection sur les questions de ce qu’on appelle « la race ».

Adaptation et mise en espace : Eva Doumbia
Avec Fatou Malsert et Catherine Dewitt
Voix enregistrée et musique : Lionel Elian
Administration : Cerise Praxy
Crédit photo : Myriam Mihinou